Bonjour, bonsoir, membres de la guilde Enigma-SoulS !
C’est avec plaisir que je me saisis de ma plume électronique virtuelle pour vous faire parvenir ma candidature depuis les confins du web. Cette candidature se compose en 3 parties, plus une partie bonus pour les plus courageux, ou les fervents de lecture et de littérature rôliste.
Sommaire
I – Présentation IRL
II – Histoire IG
III – Présentation IG
(Le premier screen de Nocturn... Nostalgie !)
Présentation IRL Je m’appelle Sofiane, pour ceux qui me connaissent ou qui m’ont déjà aperçu vous comprenez alors pourquoi certains joueurs me surnomment alors Soso. J’ai 19 ans, j'habite dans un appartement sur Nancy et je suis en école d’ingénieur informatique dans le but d’obtenir un diplôme d’expert en informatique et nouvelle technologie, donc sur 5 ans. Je suis un passionné donc, que ce soit dans le domaine du web, le réseau, la programmation, la cryptographie ou encore même le graph… Bref, un passionné quoi. Je joue à pas mal de RPG, je suis fan de la série des Final Fantasy et aussi des Kindgom Hearts (Square Enix pour les deux), mais je joue à un peu de tout globalement. En ce moment je suis sur FF XIV Online, et j’attends Assassin’s Creed V. Bref, assez raconté ma vie ! Passons à l’IG.
Histoire IGLes débuts…
On arrive dans la partie qui sera la plus complète de la candidature. Notre histoire défini ce que nous sommes, et ce que nous sommes est le fruit d’une histoire, un passé, une bande chronologique qui nous ramène d’un point à un autre… Pour comprendre qui je suis, je vais vous plongez jusqu’à mes commencements pour arriver finalement à ce que je suis, c’est-à-dire en 2007.
C’est dit, j’ai commencé mes premières foulées dans le monde des douzes en 2007, sur le serveur Hel Munster. C’est par hasard que je découvre le jeu et me lance dans l’aventure dans ce qui sera mon tout premier MMORPG. C’était la première fois que je jouais à un jeu où j’avais une liberté totale, je ne connaissais pas vraiment ça à l’époque. J’ai donc créé un Sram qui n’a vécu que jusqu’au niveau 25. Pour anecdote, je pensais qu’avant de déconnecter on devait aller au Zaap pour faire Sauvegarder sinon on perdait ce que l’on avait fait jusqu’à la dernière sauvegarde. J’ai compris 3 jours après que ça n’avait aucun rapport, ça me fait bien rire encore aujourd’hui. Et au collège j’ai rencontré des amis, joueurs de Dofus à un stade beaucoup plus avancé, et c’est à ce moment-là que j’ai décidé de les rejoindre sur Allister.
(Adieu Incarnam...)
Allister…
Nous sommes en 2008, et je créé mon personnage sous les conseils de mes amis, un Iop Feu, que je nomme alors « Immortal-Fire ». C’est mon premier personnage qui évoluera longtemps au sein du jeu.
Au fil de mon parcours, je me fais connaitre sur le serveur vers 2009-2010, et on m’offre la chance de faire une interview sur un fan-site connu. Par la suite, Rôliste dans l’âme je me fais accepter dans un clan de mercenaires. Mais, par imprudence, en 2011, je me fais hack mon personnage. Je n’avais pas compris à l’époque qu’on ne pouvait pas faire confiance à tout le monde, et cette malheureuse expérience me fût bénéfique en fin de compte. J’arrête donc le jeu.
Amayiro…
C’est en 2013 que je reprends le jeu, je créé un nouveau personnage sur le serveur Amayiro, un Sacrieur cette fois que je nomme « Ravenous ». Je grimpe très vite de niveau, jusqu’à atteindre le niveau 199 en 6 mois à peine. Je me fais une bande d’amis, et je rejoints l’une des plus puissantes guildes du serveur. Dans cette guilde j’y fais la rencontre d’un ami Jyken. C’est grâce à lui que mon niveau de jeu a progressé, et c’est à cette période que j’ai pu bâtir une petite fortune. J’ai commencé le mercenariat, pour aider à faire les duotages des donjons THL, j’ai drop de nombreuses ressources, craft de nombreux items, FM, puis vendu… J’ai fini ma quête de l’Ocre et me retrouve dans une posture de jeu agréable. Et là le jeu prend une autre tournure. On se lasse de l’ambiance malsaine de notre guilde, et Jyken et moi décidons, rentrée 2013, de migrer vers Jiva pour créer notre propre guilde : Nocturn.
(Mon Transfert)
Jiva…
Nous avons donc migré sur Jiva, bien décidé à monter notre propre guilde. Une nouvelle guilde ambitieuse, avec de vrais valeurs ! (Je vous partage notre forum :
http://forum.nocturn.rd-h.fr/index.php, vous y trouverez en fouinant si vous êtes intéressé, le site et la plateforme.) Notre guilde fonctionne du tonnerre, et on se lance tous les deux à l’assaut du Dofus des Glaces. Début 2014, on l’a enfin. Nous profitons du jeu, l’ambiance est nickelle… Mais au fur et à mesure des membres quittent le jeu, des membres quittent la guilde… Et nous avons pris la décision il y a peu de dissoudre la guilde, Jyken, Hiro et moi, ne pouvant plus nous occuper de sa gestion trop occupé par les études supérieurs. Néanmoins, c’était un projet très intéressant et qui m’a permis de rencontrer des personnes formidables, des amis que je n’aurais sûrement pas eu IRL, parce qu’au final nous sommes tous différents, mais c’est le jeu qui nous a rapproché.
Et aujourd’hui ?
Et aujourd’hui, je me présente à vous, sous le même personnage, Ravenous, à la seule différence, que j’ai décidé de tout recommencer. Vous en saurez plus en lisant ma présentation IG, car, l’histoire commence à se faire longue, et j’espère ne pas vous avoir perdu en chemin.
Présentation IG
Je suis un mono-compteur, et je joue la classe de Sacrieur. Vous l’aurez compris, mon pseudo IG est Ravenous et actuellement, je suis de cercle 177 au moment où j’écris cette candidature. Pour ceux qui me connaissent pas ou qui ne sont pas au courant et serait surpris de voir que je suis 177, je tiens à m’expliquer. J’étais 200, mais j’ai eu des soucis avec mon compte, il n’était pas certifié à mon nom (erreur de jeunesse), ne me permettant pas d’accéder aux tournois événementiels ou autres événements organisé par Ankama. Qui plus-est, si à l’avenir il me serait arrivé un souci avec mon compte, j’aurais été dans l’incapacité de faire quoi que ce soit avec le support. J’ai donc réalisé bien trop tard que je devrais prendre mon courage à deux mains et puis recommencer. C’est donc pour cela qu’actuellement je ne suis que 177.
Je suis un joueur axé sur le PvM, le PvP et le PvPm. Ayant pour chance de jouer un Sacrieur, un large panel de stuff me permet de jouer tous les modes qui me plaisent, quand je le souhaite. Cela m’offre une liberté conséquente, et c’est pour cela que je joue cette classe notamment. Je joue beaucoup les succès, hélas, j’ai dû les reprendre à zéro, mais cela me redonne aussi de l’intérêt au jeu, que j’avais un peu perdu.
BONUSPour les plus courageux d’entre vous, je vous offre un de mes petits RP. Voilà, je vous remercie de votre lecture et espère avoir des retours positifs.
(Up 200 de l'ancien Ravenous sur l'Almanax)
Pour commencer cette histoire il faudra que je commence par le commencement, car chaque conte débute par le commencement. Il y a fort longtemps, bien avant que les aventuriers soient pris d’engouement pour la quête des Dofus, un homme vit le jour, un très vieil homme. Enfin cet homme n’est pas né vieux, mais si l’on se réfère à l’ère d’aujourd’hui il est effectivement très vieux. Cet homme donc, que je ne nommerais pas, me direz-vous par manque d’imagination et je vous répondrez que vous n’avez pas si tords, a dit ses paroles : « Si tu suis les chemins de ton cœur, même si tu trépasses tu auras suivi la voie du bonheur. ». Et c’est par ces mots que je débuterais l’histoire du personnage principal de cette épopée, riche en action, en quêtes épiques, en mots, en phrases, en points d’exclamation !!! ... Hum, je m’emballe un peu excusez-moi, c’est l’émotion.
Jour 1,
« Si tu suis les chemins de ton cœur, même si tu trépasses tu auras suivit la voie du bonheur. ». Ces mots, je m’en rappelle très bien, et je pense m’en rappeler par-delà le trépas. C’était il y a un bon bout de temps maintenant et j’ai parcouru une belle route. Aujourd’hui, si j’ai la force de me souvenir de mes aventures du premier jour jusqu’au dernier, c’est tout simplement car chaque jours de cette aventure a été magique. Je ne pourrais pas définir une de ces journées passées comme étant la meilleure car s’il on fait preuve de logique, je n’aurais pas pu écrire ce journal si je n’avais pas vécu une seule de ces journées, un seul de ces moments, une seule de ces heures, chaque secondes qui se sont reliées entre elles pour ainsi formé le temps qui s’est écoulé jusqu’aux caresses de ma plume sur cette ouvrage.
Le temps était encore orageux, le climat de la zone n’était pas vraiment touristique. Comme à mon habitude j’avais désobéit à ma maman pour me rendre dans le village dévasté de Gisgoul. L’endroit était hostile et pas vraiment accueillant étant peuplé de centaines de Bworks et de Gobelins égarés qui, peu habitués à voir des humains, s’empressaient d’aller faire des études anatomiques à leur manière pour étudier la tendresse de la chaire des aventuriers tout aussi perdus qu’eux. Je devais alors faire très attention, car de mon jeune âge, je n’avais pas vraiment d’expérience au combat. Mon sang de disciple de Sacrieur coulait dans mes veines, j’avais donc une aptitude au combat rapproché innée et je savais me défendre m’entrainant quand je le pouvais sur des Corbacs ou des Kolérats n’ayant rien demandé à personne, mais je ne pensais vraiment pas pouvoir tenir tête à ses êtres stupides et agressifs. Je devais donc être sur mes gardes et faire preuve de discrétion.
Mon habitude lorsque je me rendais dans ces terres calcinées, était de récupérer les livres des anciennes bibliothèques brûlées. Il manquait parfois des pages, des morceaux de pages, des mots ou encore des morceaux de mots. Mais certains livres se laissaient toutefois lire. Je passais des heures à plonger dans les épopées de héros légendaires où dans des discordes politiques en tout genre. J’étais jeune, mais assez lucide et j’aimais à apprendre où je marche. Pour moi l’Histoire du monde était importante, et les légendes m’inspiraient des envies de me détacher de tout et partir vers l’inconnu. C’est dans ses bouquins que j’ai pu ainsi connaître la légende des Dofus et le mystère qui planait autour d’eux. Ma mère n’était pas vraiment bavarde et ne me parlait pas vraiment de tout ça. Elle voulait que je sois un bon enfant et que rien de tout cela ne me préoccupe, mais aujourd’hui je m’aperçois que surtout elle voulait me protéger des dangers qui planent sur ce monde.
On habitait une petite maison dans les Landes de Sidimote, à l’abris des regards et surtout des créatures dangereuses. C’était une petite bicoque qu’elle a eu pour peu cher après la mort de mon père mais elle ne m’a jamais vraiment parlé de lui. C’était un endroit agréable, au pied d’une ébène magnifique et d’un petit puits. Les plantes ne poussaient pas mais je dois dire que nous les Sacrieurs ne sommes pas vraiment portés sur la nature. On ne disposait que d’un étage, avec un fourneau où ma mère préparait son pain, mais comme vous vous en doutez la majeure partie de mon temps je la passais à vagabonder dans les landes et ses alentours, je ne saurais donc pas vous faire une représentation exhaustive du lieu de mon enfance. Pour vivre, ma mère exerçait donc le métier de boulangère. Je me rappelle que son ami dont je ne me souviens plus du tout du nom, lui avait offert sa première livraison de blé. C’est ainsi qu’elle s’est mise au travail pour nous faire vivre, elle et moi. Le matin, elle allait puiser de l’eau dans le puits, fabriquait ses farines et l’après-midi elle confectionnait son pain. Elle avait trouvé un commerçant qui lui rachetait son pain et allait ensuite le revendre pour plus cher à Brakmâr. Ma mère gagnait modestement sa vie, mais on ne pouvait lui retirer sa bravoure.
Vous vous doutez sûrement qu’à force de lecture trépidantes l’excitation de l’aventure grimpait en moi de manière exponentielle. Et bien c’est le cas ! Mais vous pourrez aussi me demander qu’est-ce qui a fait que je me mette soudainement en route pour vivre les épopées de mes héros de roman ? Et bien tout cela se résume à une seule ligne, « Si tu suis les chemins de ton cœur, même si tu trépasses tu auras suivit la voie du bonheur. ». Dès lors, j’ai jeté le livre à terre, j’ai réveillé un Bwork qui s’est mis tout de suite à ma poursuite et j’ai couru, couru à en perdre haleine ! En avant pour l’aventure !
A suivre…